Traque sauvage [Pv Laïkn]

La tempête semblait s'être calmée. Combien de temps, d'heures, de minutes s'étaient écoulées ? Quelle importance ? J'étais là, recroquevillé au sein d'une cavité où je tenais à peine debout. Le froid est sans nul doute le pire ennemi des êtres vivants dans ce monde. J'avais décidé de partir seul aujourd'hui. Ma monture avait succombé au froid et au manque de nourriture dans cette région. Les forêts aussi denses soient elles cachaient bien leurs gibiers et autres plantes comestibles. Mes hommes ne me retrouveraient pas. Moi même je ne pourrais sans doute pas retrouver le chemin vers le camp militaire dans lequel cela faisait bientôt deux ans que je vivais jour après jour. En sortant de ma cachette je découvrais sans surprise le corps inerte de mon cheval. La neige recouvrait son corps que je balayais du revers de mon gantelet droit. Mon regard n'exprimait rien, aucune notion de bien ou de mal, de pitié, de compassion, de douleur. Rien...
Je récupérais du bois mort à travers l'étendue de sapin et allumait un foyer dans l'espace ou je m'étais auparavant caché. La fumée serait moins visible qu'en extérieure et j'étais jusqu'ici toujours en territoire ennemi. Mieux valait ne pas se faire remarqué si je tenais à la vie. Bien qu'étant un semi-elfe j'étais aussi à moitié humain et pas du bon côté à priori. J'étais un elysïen par mon père et un rúnya par ma mère.

Je m'attelais alors au dépeçage de la viande sur le cheval. Si il y avait bien une chose que je ne voulais pas s'était belle et bien mourir ici sans que personne ne sache qui je suis. Un vulgaire cadavre aux oreilles pointus et à l'allure d'un soldat elysïen. Je secouais la tête sortant de mon esprit cette image horrifiante de mon cadavre recouvert par la neige et dévorés par les loups. J'écoutais attentivement le vent soufflait abondamment et camouflait le léger crépitement des flammes et du bois se consumant dans l’âtre. Je récupérais un premier morceau de viande que j'avalais et déchiquetais avec mes dents aussi rapidement qu’avidement. Contemplant les chaînes de montagnes se dessinant au loin je réfléchissais aux possibilités qui s'offraient à moi pour rejoindre les miens.

Laïkn n'avait pas pu chasser pour rapporter à manger au village ni même à ses parents, la tempête empêchait de voir plus loin que son nez. De plus les animaux ne sortaient pas par mauvais temps, donc elle du attendre bien à l’abri.

Les habitations avaient tenu bon et une fois le vent calmé, les vockräms s'étaient mi à déblayer un peu la neige pour faciliter les déplacements. La demi-elfe quand à elle se pressa de s'habiller chaudement pour aller chasser de plus le guérisseur lui avait demandé de lui rapporter quelques plantes lors de ses sorties, elle ferait d'une pierre deux coups en allant aussi à la chasse. La fourrure, ce n'était pas toujours confortable, mais au moins c'était chaud. La demoiselle pris donc son carquois, son couteau ainsi que tout ce dont elle avait besoin pour chasser en plus d'une petite sacoche pour mettre les herbes puis elle s'enfonça parmi les arbres.

Il fallait qu'elle s'éloigne un peu du village, elle essayerait sans doute de rapporter du lapin, ces petits malins creusent des tunnels sous la neige mais son plus facile à répéter de cette façon.

La neige crissait très légèrement sous ses pas et elle restait alerte au moindre mouvement d'une proie potentielle. Mais ce ne fut pas un mouvement qui attira son attention mais une odeur de fumée. Laïkn banda son arc, scrutant les environs, prête à tirer si jamais on essayait de l'attaquer.

Alors je reprendrai des forces, malgré le froid qui glace mes os et les vêtements amples et chauds qui couvre ma peau meurtris. Mon regard s'illumine à chaque morceau que je déchiquette affamer je ne prend pas le temps de réfléchir. L'instinct de survie prime sur le reste et me réconforte à sa manière. Dans le froid, j'attends.
Je ne suis guère plus avancé désormais et pourtant le simple fait de reprendre des forces m'inspire une nouvelle idée, un nouveau souffle de vie faisant raisonner mon cœur plus légèrement qu'à l'habitude. Même si le destin est tragique il subsiste une lueur d'espoir dans chaque instant et moment difficile de notre existence.

La fumée allait bon train. Un peu trop peut être même. Le jeune semi-elfe tendait une main droite vigoureuse et pourtant fragilisé par les morsures glaciales du vent soufflant depuis trop longtemps maintenant. Chasser dans ces terres ne doit pas être chose aisée pensa le jeune-homme. Les terres stériles des montagnes brumeuses sont des espaces escarpées et dénivelés et les vivres de nature sauvage se font rares. À l'inverse des campagnes et des immenses forêts des contrées du sud qui regorgent de gibiers. Dans cette immensité froide et dure ou le soleil est aussi rare que propice à vous réchauffer le cœur je distingue au loin du mouvement. Je suis trop absorbé néanmoins par la simple idée de me restaurer. Les formes ne sont pas nettes sûrement un daim vagabondant dans le coin. Mon épée à ma ceinture je garde en tête que l'ennemi peut rôder dans les parages. L'idée n'est pas rassurante mais je fais confiance en mon ouïe plus développée que la plupart des mortels sur cette terre. Mes yeux eux ne se focalisent bientôt plus que sur la viande que je déchire avec mes dents telle un loup affamé depuis plusieurs jours.
Il me faudrait bientôt partir. S'attarder n'est pas une éventualité. Mes traces seront visibles et la neige propice à ma poursuite c'est pourquoi il me faudra d'autant plus me hâter.

Laïkn distingua de son ouïe des bruits de mastications. Visiblement, il y avait un affamé pas loin de là où elle se trouvait. Par la suite en s’approchant encore un peu elle distingua le flanc d'un cheval, c'était pas très beau à voir, mais le froid avait eu raison de cette pauvre bête avant qu'elle se fasse dépecer. Les marques étaient nettes, donc c'était bien quelqu'un qui avait découpé se cheval et non pas un prédateur.
Si la personne était vockram, elle serait venu au village au lieu de se cacher dans un coin, la semi-elfe se demandait de qui, il pouvait bien s'agir.

La fumée était devenue plus intense quant elle avait approché du cheval .

Que devait elle faire ? Laisser cette personne mourir dans le froid oubien tenter une approche, après tout à cette température glaciale si on ne bougeait pas on succombait rapidement au froid sans habits chauds et adapté. Et si c'était un de ceux qui s'en prenait au vockräms, un éclaireur qui s'était égaré dans la région ?

Diverses questions lui traversèrent l'esprit, et se laissant guider par sa curiosité Laïkn se rapprocha petit à petit de l'inconnu, arc tendu, près à décocher une flèche.

Laïkn détailla de loin l'individu recroquevillé comme un petit quelque chose dans une cavité, ce n'était pas le meilleur des endroits pour s'abriter d'une tempête. Ce n'était pas un vockräm l'armure ne laissait aucun doute dessus.

Elle visa le cou en restant silencieuse tout en réfléchissant à ce qu'elle allait faire, l'armure qu'il portait ne laissait pas beaucoup de failles à exploiter, viser la tête ou le cou était plus sûr.

"Ne Bouge pas ! ..." La voix bien que douce de la semi-elfe avait un ton sérieux.

Peut être le faire prisonnier serait une bonne idée pour connaitre ce que faisait l'armée ennemie. Mais, Laïkn réfléchissait encore sur le sujet, n’étant pas encore sur de la décision à prendre, cela comportait des risques aussi.

Le bruissement dans la neige se fait plus présent. Morceau après morceau je l'entends plus clairement et distinctement comme une mélodie accompagnant ma mâchoire et la force que j'y met pour dévorer ma nourriture. Les mouvements ne s’affolent pas, ils sont calculés mais je décide de ne pas regarder. Je me focalisais sur le son cernant peu à peu la nature des pas. Un humain ? Un animal ? Tout deux seraient bien imprudent bien que meurtris et affaiblit par le froid j'en demeurais que plus dangereux et nerveux.

Je sentais le sang bouillonner en moi me forçant à garder l'illusion d'être tranquille ou d'être trop occuper à manger entre autre. Mes lèvres gercés par le froid se fendaient par petit à-coup ne laissant que peu de repos à mon corps pour coaguler le sang qui glissait le long de ma bouche et de mon menton très faiblement. Mes doigts me brûlaient, le sang circulant dans mes mains battant fort telle des tambours agonisant et tapant à s'en rompre les veines.
Sans un regard, ni un bruit je me forçais à attendre ma main gauche s’apprêtant à récupérer de la neige pour former un projectile de cette poudreuse qui serait peut être utile à surprendre ou effrayer l'animal ou cette autre chose qui prenait de sérieuses précautions pour se mouvoir vers ma personne.
Les pas de cette chose étaient de plus en plus difficile à cerner. Avais-je du mal à entendre ? Sûrement pas maintenant que la bourrasque de vent était passé le temps était propice aux sorties en forêt et peut être même à la chasse ? Oui quelqu'un m'observait et sans doute une arme prête à dégainée ou une flèche décochée comme projectile sur ma personne.

C'est alors que je l'entendis. Une voix fine et délicate dans un premier sens mais qui gardait ses réserves et montrait déjà des signes de prudence. Tout comme moi finalement. Cependant je n'étais pas prêt à être tué, blessé hm peut être si les six le veulent après tout. Capturé ? Vous plaisantez ? Non aucune chance, une vockräm ne peut rien contre la rapidité et l'agilité des elfes et cela tombait bien car j'en étais un à moitié de surcroît. Une chose était sur j'avais repris assé d'énergie pour me remettre en chemin et sortir de cette impasse qui se refermait peu à peu sur moi.

Je prenais le temps de me positionner sans mouvement brusque prêt à partir dans une direction ou une autre. Une fois mon choix fais je comptais dans ma tête sachant pertinemment que j'allais prendre la décision à un moment ou un autre de partir et de courir aussi vite que possible.
Je faisais semblant d'obtempérer levant ma main libre vers le ciel en signe de bonne volonté. Ma main gauche elle disait bien le contraire et soudain je me retournait et lançais la boule de neige dans la direction de ce qui était belle et bien une vockräm. Mais pas le temps d'en voir plus je prenais mes jambes à mon cou et commençait ma course à travers la forêt et les innombrables sapins pour échapper à la vigilance de la chasseuse pourvu qu'ils ne me capturent pas vivant.

Messages : 1 Date d'inscription : 27/02/2015

Se promenant dans la forêt l'entité se plaisait à vagabonder dans les environs. La Nature elle même devait se réjouir de son passage tout comme il aimait le penser. Notre curieuse créature invisible aux yeux de tous les êtres peuplant ce monde et des êtres humanoïdes entendu alors du bruit non loin de là.
Il observa le petit jeu du semi-elfe qui ne manquait pas d’audace mais remarqua aussi l'assurance de la jeune femme qui ne manquait pas de courage pour s'approcher d'aussi près de celui-ci. Cette scène promettait d'être intéressante selon lui. Cet alors que le semi-elfe lança sa boule de neige en direction de la vockräm.

[Jet de dés de Fate dans l'ordre de lancé : 67 touché / 31 manqué.]

L'entité sylvestre s'amusant donna de la puissant à la boule de neige qui s'écrasa sur la joue de la jeune vockräm et celle-ci décocha sa flèche en direction du semi-elfe qui se planta dans le tronc d'un sapin.

Jet de dés de Fate favorable majoritairement à Wiver le semi-elfe

Laïkn ne c'était pas attendu à ce que le choc avec la boule de neige soit si violent, ce qui la déstabilisa dans son tir et se faisant sa flèche atterrit dans le tronc d'un arbre, ce qui la frustra quelque peu. Voila qu'elle avait un peu de neige glacée dans le cou qui lui glissait dans les vêtements maintenant, mais cela passerait d'ici peu. Pour le reste, la demi-elfe avait pu mieux détailler l'individu qui semblait lui aussi en être un.

Elle le regarda un instant s'éloigner à toute vitesse avait de décider de lui laisser une distance d'avance, avec son armure lourde, il allait se fatiguer beaucoup plus vite qu'elle probablement. De plus étant plus légère, Laïkn avait plus de facilité à progresser ne s'enfonçait que très peu dans la neige qui était épaisse ce qui lui facilitait sa course, mais, il fallait qu'elle réfléchisse vite tout en le suivant à distance, la semi-elfe faisait attention pour ne pas se faire semer tout de même.

Il fallait qu'elle se décide.

Elle le suivit donc, puis banda son arc et tira volontairement sur un point de l'armure pour le déstabiliser, et non pas pour le blesser, juste pour qu'il se presse un peu et qu'il n'est pas trop le temps de réfléchir quant elle ferait un autre tir pour le rabattre d'un coté.

J'entendis le sifflement de la flèche retentir et s'enfoncer dans le tronc d'arbre peu après m'être élancé pour sauver ma peau. Dans la précipitation je prenais plus de temps à me frayer un chemin à travers la neige dans laquelle je m'enfonçais facilement face au poids de mon armure mais je ne perdais pas mon objectif de vu. Il fallait semer mon assaillant et le seul moyen que j'avais s'était de m'enfoncer plus profondément encore dans la forêt là ou la neige se fait plus rare et ou je pourrais peut être riposter au besoin.

Alors que je prenais la direction des arbres pour m'y mettre à l'abri des tirs je sentis une flèche ricocher contre le dos de mon armure que je portais. Le coup me déstabilisa et je roulais au sol sans comprendre ce qui m'arrivait concrètement. Il fallait agir vite, je continuais ma course folle roulant dans la neige le chaud et le froid combattaient et luttaient ensemble vaillamment sans pour autant décider d'un vainqueur. Je décidais de dégainer mon épée dans un bruit étincelant je me positionnais et stoppait l'élan dans lequel j'avais été propulsé. Accroupis je cherchais du regard l'ennemi mon épée droite dans ma main, mon bouclier accroché dans mon dos. Je n'étais pas prêt à mourir aujourd'hui.

Montres toi ! Viens te battre !

Déclarais-je haut et fort pour chercher à rameuter mon adversaire plus près. Assé pour une lame.

Laïkn se surpris un peu elle même en se sentant sourire dans cette sorte de chasse, pas que le fait de chasser autre chose qu'un cerf ou qu'un lapin soit amusant, c'était la situation qui prêtait un peu à rire. Mais la jeune demoiselle récupéra rapidement son sérieux, elle devait réfléchir à son prochain coup pour parvenir à son but.

Elle l'avait donc suivit un moment à distance avant que celui ci ne s'arrête et ne sorte son épée ce qui mettait un peu à mal son plan, elle voulait qu'il bouge pour le rapprocher du camp vockram le plus proche, ou bien même d'une tour de guet, voir d'une patrouille. Mais, là, il s'était arrêté brandissant son épée au-clair.

La semi-elf s’approcha du fuyard, non pas parce qu'il en avait fait l'injonction mais juste pour l'avoir à l’œil. Elle resta tout de même à une bonne distance, armée de son arc, Laïkn avait aucune intention de tenter un corps à corps inutile.

Elle l'observa un peu bien qu'il soit visiblement près à défendre sa vie. La demoiselle n'avait pas l’occasion de voir d'autres comme elle de si près tous les jours, c'était aussi peut-être l'une des raisons qui la faisait hésiter à se décider. Laïkn lui parla calmement.

Tu comptes mourir ici ?

Elle pouvait très bien lui tirer dans la tête a cette distance ou dans toute autre endroit non protégé par l'armure. Mais, si elle le menait au village, il vivrait sans doute plus longtemps que seul dans la forêt même en étant prisonnier.

Immobile dans cet amas de poudreuse blanche qui recouvrait désormais les pans de mes vêtements j'attendais respirant fortement l'air qui imprégnait mes poumons semblait me brûler, me consumer de l'intérieure. L'adrénaline et l'instinct de survie ou simplement un sens aigu du devoir ? Pouvais-je encore espérer vivre ici bas pour rendre compte des pires tortures et des manières malsaines de me tourmenter au sein des peuplades vockräms ? Pour dire la vérité je n'avais que trop peu de choix qui s'offrait à moi l'affrontement de face ou la capture. Vivre une seconde de trop et avouer ce que je savais aux peuplades barbares des montagnes n'était pas une option. Elle ne le serait jamais voilà pourquoi j'avais fais volte face et préférait mourir debout sans prononcer la moindre information même sous les pires séquestrations.

Je devais gagner du temps, il me fallait être au plus près de cette femme qui semblait en tout point différentes des guerrières barbares que j'avais pu voir jusqu'à présent. Extrêmement calme comme une habitude de devoir tuer leurs ennemis et une indifférence prononcée devant la mort. Les dieux ne pourraient rien pour moi et même si j'adressais une dernière prière à Caerias pour qu'il guide mon bras et mon épée droit vers le cœur de mon adversaire je guettais la moindre faiblesse dans le positionnement de celle-ci pour envoyer mon épée telle un javelot transperçant le sanglier en fuite. Ma cible était immobile s'était peut être le moment pour en finir.

Mourir ici ? Si il faut en passé par là oui je suis prêt à mourir mais tu me suivra dans la mort sois en sur vockräm.

La force de dissuasion pouvait peut être encore raisonner un être païen qui vénérait en ce monde de faux dieux mais en cela j'en doutais fortement contenu de nos divergences d'opinions et de raisonnements.

Il n'avait visiblement pas envie de se faire capturer et préférait la mort, sans doute avait-il des informations qui permettrait au vockräms de savoir ou l'ennemi allait frapper. Peut-être que les dieux avaient décidé de l’envoyer au devant pour qu'il ne meurt pas mais soit capturé pour aider les vockrams. Peut être que les dieux savaient qu'elle hésitait à le tuer contrairement à quelqu'un d'autre.

De plus il comptait la combattre d'une manière ou d'une autre vu que apparemment, il voulait la mener dans la tombe. Mais, quand elle l'entendit dire vockräm, elle eu une sorte de rire étouffé. D'un coté c'était un peu ironique, elle était vockram certes mais aussi comme lui, une semi-elfe et cela lui l’ignorait vu ce qu'elle portait sur elle cela aurait été difficile de la voir autrement.

Pour le reste s'il comptait la tuer, il n'y avait pas beaucoup d'options, soit il courait vers elle pour lui rentrer dedans avec son épée et la elle aurait le temps de le voir venir, soit il lance son arme dans sa direction, mais là elle avait des doutes sur la force physique de ce dernier courir dans la neige en armure devait tout de même l'avoir épuisé assez.

Après les paroles du chevalier, Laïkn banda son arc et pointa dans la direction du semi-elf, elle n'avait pas l'intention d’exaucer la prière de sa "proie".

Je ne pense pas ...

Elle voulait être sur qu'il tente rien de stupide et qu'il reste en vie. Donc elle visa une jointure de l'armure, elle trouverait bien une faille ou un moyen de bien le fatiguer pour avoir à coup sur le dessus. Quitte à le ramener elle même par la peau des fesses au village.